Vous cherchez des poèmes romantiques pour votre bien-aimé(e) ou tout simplement pour vous-même, parce que vous êtes une âme romantique ? Eh bien, vous avez de la chance, puisque c’est exactement ce que nous vous avons préparé dans cet article !
En France, nous avons la chance d’avoir les plus grands poètes d’amour du monde : Théophile Gautier, Alphonse De Lamartine, Alfred De Musset, Paul Verlaine, Louis Aragon, et j’en passe…
Eh bien-sûr, comment ne pas mentionner celui qui est certainement le plus grand poète romantique de la poésie française, connu même parmi les petits enfants, grâce à sa fameuse œuvre « Les Misérables » , le seul et l’unique : Monsieur Victor Hugo !
Pour que vous ayez une idée de quoi je parle, nous avons décidé de rendre hommage à Victor Hugo en réunissant ces plus beaux poèmes d’amour que vous allez assurément apprécier !
Sans plus attendre, laissez vous bercer par ces beaux mots d’amour enlacés par des vers et des rimes qui ne manqueront pas d’éveiller tous vos sens !
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12 Incontournables Poèmes D’amour De Victor Hugo
1. À une jeune fille
« Vous qui ne savez pas combien l’enfance est belle,
Enfant ! n’enviez point notre âge de douleurs,
Où le cœur tour à tour est esclave et rebelle,
Où le rire est souvent plus triste que vos pleurs.
Votre âge insouciant est si doux qu’on l’oublie !
Il passe, comme un souffle au vaste champ des airs,
Comme une voix joyeuse en fuyant, affaiblie,
Comme un alcyon sur les mers.
Oh ! ne vous hâtez point de mûrir vos pensées !
Jouissez du matin, jouissez du printemps ;
Vos heures sont des fleurs l’une à l’autre enlacées ;
Ne les effeuillez pas plus vite que le temps.
Laissez venir les ans ! Le destin vous dévoue,
Comme nous, aux regrets, à la fausse amitié,
À ces maux sans espoir que l’orgueil désavoue,
À ces plaisirs qui font pitié.
Riez pourtant ! du sort, ignorez la puissance
Riez ! n’attristez pas votre front gracieux,
Votre œil d’azur, miroir de paix et d’innocence,
Qui révèle votre âme et réfléchit les cieux ! » – Victor Hugo, Odes et ballades
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2. Oh ! quand je dors…
« Oh ! quand je dors, viens auprès de ma couche,
Comme à Pétrarque apparaissait Laura,
Et qu’en passant ton haleine me touche… –
Soudain ma bouche
S’entr’ouvrira !
Sur mon front morne où peut-être s’achève
Un songe noir qui trop longtemps dura,
Que ton regard comme un astre se lève… –
Soudain mon rêve
Rayonnera !
Puis sur ma lèvre où voltige une flamme,
Éclair d’amour que Dieu même épura,
Pose un baiser, et d’ange devient femme… –
Soudain mon âme
S’éveillera ! » – Victor Hugo, Les rayons et les ombres
3. À la belle impérieuse
« À la belle impérieuse
L’amour, panique
De la raison,
Se communique
Par le frisson.
Laissez-moi dire,
N’accordez rien.
Si je soupire,
Chantez, c’est bien.
Si je demeure,
Triste, à vos pieds,
Et si je pleure,
C’est bien, riez.
Un homme semble
Souvent trompeur.
Mais si je tremble,
Belle, ayez peur. » – Victor Hugo, Les chansons des rues et des bois
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4. À maman
« À maman
Mon cœur me dit que c’est ta fête
Je crois toujours mon cœur quand il parle de toi
Maman, que faut-il donc que ce cœur te souhaite ?
Des trésors ? Des honneurs ? Des trônes ? Non, ma foi !
Mais un bonheur égal au mien quand je te vois. » – Victor Hugo, Les rayons et les ombres
5. À Mlle Fanny de P.
« Ô vous que votre âge défend,
Riez ! tout vous caresse encore.
Jouez ! chantez ! soyez l’enfant !
Soyez la fleur ; soyez l’aurore !
Quant au destin, n’y songez pas.
Le ciel est noir, la vie est sombre.
Hélas ! que fait l’homme ici-bas ?
Un peu de bruit dans beaucoup d’ombre.
Le sort est dur, nous le voyons.
Enfant ! souvent l’œil plein de charmes
Qui jette le plus de rayons
Répand aussi le plus de larmes.
Vous que rien ne vient éprouver,
Vous avez tout, joie et délire,
L’innocence qui fait rêver,
L’ignorance qui fait sourire.
Vous avez, lys sauvé des vents,
Cœur occupé d’humbles chimères,
Ce calme bonheur des enfants,
Pur reflet du bonheur des mères.
Votre candeur vous embellit.
Je préfère à toute autre flamme
Votre prunelle que remplit
La clarté qui sort de votre âme.
Pour vous ni soucis ni douleurs,
La famille vous idolâtre.
L’été, vous courez dans les fleurs ;
L’hiver, vous jouez près de l’âtre.
La poésie, esprit des cieux,
Près de vous, enfant, s’est posée ;
Votre mère l’a dans ses yeux,
Votre père dans sa pensée.
Profitez de ce temps si doux !
Vivez ! – La joie est vite absente ;
Et les plus sombres d’entre nous
Ont eu leur aube éblouissante.
Comme on prie avant de partir,
Laissez-moi vous bénir, jeune âme, –
Ange qui serez un martyr !
Enfant qui serez une femme ! » – Victor Hugo, Les rayons et les ombres
6. À une femme
« Enfant ! si j’étais roi, je donnerais l’empire,
Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux
Et ma couronne d’or, et mes bains de porphyre,
Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire,
Pour un regard de vous !
Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes,
Les anges, les démons courbés devant ma loi,
Et le profond chaos aux entrailles fécondes,
L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes,
Pour un baiser de toi ! » – Victor Hugo, Les feuilles d’automne
7. Quand deux cœurs en s’aimant ont doucement vieilli
« Quand deux cœurs en s’aimant ont doucement vieilli
Oh ! quel bonheur profond, intime, recueilli !
Amour ! hymen d’en haut ! ô pur lien des âmes !
Il garde ses rayons même en perdant ses flammes.
Ces deux cœurs qu’il a pris jadis n’en font plus qu’un.
Il fait, des souvenirs de leur passé commun,
L’impossibilité de vivre l’un sans l’autre.
– Chérie, n’est-ce pas ? cette vie est la nôtre !
Il a la paix du soir avec l’éclat du jour,
Et devient l’amitié tout en restant l’amour ! » – Victor Hugo, Toute la lyre
8. Apparition
« Je vis un ange blanc qui passait sur ma tête ;
Son vol éblouissant apaisait la tempête,
Et faisait taire au loin la mer pleine de bruit.
– Qu’est-ce que tu viens faire, ange, dans cette nuit ?
Lui dis-je. – Il répondit : – je viens prendre ton âme. –
Et j’eus peur, car je vis que c’était une femme ;
Et je lui dis, tremblant et lui tendant les bras :
– Que me restera-t-il ? car tu t’envoleras. –
Il ne répondit pas ; le ciel que l’ombre assiège
S’éteignait … – Si tu prends mon âme, m’écriai-je,
Où l’emporteras-tu ? montre-moi dans quel lieu.
Il se taisait toujours. – Ô passant du ciel bleu,
Es-tu la mort ? lui dis-je, ou bien es-tu la vie ? –
Et la nuit augmentait sur mon âme ravie,
Et l’ange devint noir, et dit : – Je suis l’amour.
Mais son front sombre était plus charmant que le jour,
Et je voyais, dans l’ombre où brillaient ses prunelles,
Les astres à travers les plumes de ses ailes. » – Victor Hugo, Les contemplations
9. À Jeanne
Ces lieux sont purs ; tu les complètes.
Ce bois, loin des sentiers battus,
Semble avoir fait des violettes,
Jeanne, avec toutes tes vertus.
L’aurore ressemble à ton âge ;
Jeanne, il existe sous les cieux
On ne sait quel doux voisinage
Des bons cœurs avec les beaux lieux.
Tout ce vallon est une fête
Qui t’offre son humble bonheur ;
C’est un nimbe autour de ta tête ;
C’est un éden en ton honneur.
Tout ce qui t’approche désire
Se faire regarder par toi,
Sachant que ta chanson, ton rire,
Et ton front, sont de bonne foi.
Ô Jeanne, ta douceur est telle
Qu’en errant dans ces bois bénis,
Elle fait dresser devant elle
Les petites têtes des nids. » – Victor Hugo, Les chansons des rues et des bois
10. La tombe dit à la rose
« La tombe dit à la rose :
– Des pleurs dont l’aube t’arrose
Que fais-tu, fleur des amours ?
La rose dit à la tombe :
– Que fais-tu de ce qui tombe
Dans ton gouffre ouvert toujours ?
La rose dit : – Tombeau sombre,
De ces pleurs je fais dans l’ombre
Un parfum d’ambre et de miel.
La tombe dit : – Fleur plaintive,
De chaque âme qui m’arrive
Je fais un ange du ciel ! » – Victor Hugo, Les voix intérieures
11. Jeanne fait son entrée
« Jeanne parle; elle dit des choses qu’elle ignore;
Elle envoie à la mer qui gronde, au bois sonore,
À la nuée, aux fleurs, aux nids, au firmament,
À l’immense nature, un doux gazouillement,
Tout un discours, profond peut-être, qu’elle achève
Par un sourire où flotte une âme, où tremble un rêve,
Murmure indistinct, vague, obscur, confus, brouillé,
Dieu, le bon vieux grand-père, écoute émerveillé. » – Victor Hugo, L’art d’être grand-père
12. Demain dès l’aube…
« Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. » – Victor Hugo, Les Contemplations
Et si vous ne manquez jamais l’occasion d’envoyer un SMS de bonne nuit à votre moitié, vous allez adorer ces 155 messages romantiques à utiliser sans modération !
5 Extraits Des Plus Beaux Poèmes De Victor Hugo
1. Ô mes lettres d’amour
« Ô mes lettres d’amour, de vertu, de jeunesse
Victor Hugo
Ô mes lettres d’amour, de vertu, de jeunesse,
C’est donc vous ! Je m’enivre encore à votre ivresse ;
Je vous lis à genoux.
Souffrez que pour un jour, je reprenne votre âge !
Laissez-moi me cacher, moi, l’heureux et le sage,
Pour pleurer avec vous !
J’avais donc dix-huit ans ! j’étais donc plein de songes !
L’espérance en chantant me berçait de mensonges.
Un astre m’avait lui !
J’étais un dieu pour toi qu’en mon cœur seul, je nomme !
J’étais donc cet enfant, hélas ! devant qui l’homme
Rougit presque aujourd’hui !
Ô temps de rêverie, et de force, et de grâce !
Attendre tous les soirs une robe qui passe !
Baiser un gant jeté !
Vouloir tout de la vie, amour, puissance et gloire !
Être pur, être fier, être sublime et croire
À toute pureté !
À présent, j’ai senti, j’ai vu, je sais. – Qu’importe ?
Si moins d’illusions viennent ouvrir ma porte
Qui gémit en tournant ! (…) » – Victor Hugo, Les feuilles d’automne
2. Ce siècle avait deux ans
« (…) Cet enfant que la vie effaçait de son livre,
Et qui n’avait pas même un lendemain à vivre,
C’est moi. –
Je vous dirai peut-être quelque jour
Quel lait pur, que de soins, que de vœux, que d’amour,
Prodigués pour ma vie en naissant condamnée,
M’ont fait deux fois l’enfant de ma mère obstinée,
Ange qui sur trois fils attachés à ses pas
Épandait son amour et ne mesurait pas !
Ô l’amour d’une mère ! amour que nul n’oublie !
Pain merveilleux qu’un dieu partage et multiplie !
Table toujours servie au paternel foyer !
Chacun en a sa part et tous l’ont tout entier !
Je pourrai dire un jour, lorsque la nuit douteuse
Fera parler les soirs ma vieillesse conteuse,
Comment ce haut destin de gloire et de terreur
Qui remuait le monde aux pas de l’empereur,
Dans son souffle orageux, m’emportant sans défense,
À tous les vents de l’air fit flotter mon enfance.
Car, lorsque l’aquilon bat ses flots palpitants,
L’océan convulsif tourmente en même temps
Le navire à trois ponts qui tonne avec l’orage,
Et la feuille échappée aux arbres du rivage !
(…) Si parfois de mon sein s’envolent mes pensées,
Mes chansons par le monde en lambeaux dispersées ;
S’il me plaît de cacher l’amour et la douleur
Dans le coin d’un roman ironique et railleur ;
Si j’ébranle la scène avec ma fantaisie,
Si j’entre-choque aux yeux d’une foule choisie
D’autres hommes comme eux, vivant tous à la fois
De mon souffle et parlant au peuple avec ma voix ;
Si ma tête, fournaise où mon esprit s’allume,
Jette le vers d’airain qui bouillonne et qui fume
Dans le rythme profond, moule mystérieux
D’où sort la strophe ouvrant ses ailes dans les cieux ;
C’est que l’amour, la tombe, et la gloire, et la vie,
L’onde qui fuit, par l’onde incessamment suivie,
Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal,
Fait reluire et vibrer mon âme de cristal,
Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j’adore
Mit au centre de tout comme un écho sonore !
(…) Après avoir chanté, j’écoute et je contemple,
À l’empereur tombé dressant dans l’ombre un temple,
Aimant la liberté pour ses fruits, pour ses fleurs,
Le trône pour son droit, le roi pour ses malheurs ;
Fidèle enfin au sang qu’ont versé dans ma veine
Mon père vieux soldat, ma mère vendéenne ! » – Victor Hugo, Les siècles D’automne
3. VENI, VIDI, VIXI
« (…) Puisque l’espoir serein dans mon âme est vaincu ;
Puisqu’en cette saison des parfums et des roses,
Ô ma fille ! j’aspire à l’ombre où tu reposes,
Puisque mon cœur est mort, j’ai bien assez vécu.
Je n’ai pas refusé ma tâche sur la terre.
Mon sillon ? Le voilà. Ma gerbe ? La voici.
J’ai vécu souriant, toujours plus adouci,
Debout, mais incliné du côté du mystère.
J’ai fait ce que j’ai pu ; j’ai servi, j’ai veillé,
Et j’ai vu bien souvent qu’on riait de ma peine.
Je me suis étonné d’être un objet de haine,
Ayant beaucoup souffert et beaucoup travaillé.
(…) Maintenant, mon regard ne s’ouvre qu’à demi ;
Je ne me tourne plus même quand on me nomme ;
Je suis plein de stupeur et d’ennui, comme un homme
Qui se lève avant l’aube et qui n’a pas dormi.
Je ne daigne plus même, en ma sombre paresse,
Répondre à l’envieux dont la bouche me nuit.
Ô seigneur ! ouvrez-moi les portes de la nuit,
Afin que je m’en aille et que je disparaisse ! » – Victor Hugo, Les contemplations
4. Lorsque l’enfant paraît
« (…) La nuit, quand l’homme dort, quand l’esprit rêve, à l’heure
Où l’on entend gémir, comme une voix qui pleure,
L’onde entre les roseaux,
Si l’aube tout à coup là-bas luit comme un phare,
Sa clarté dans les champs éveille une fanfare
De cloches et d’oiseaux.
Enfant, vous êtes l’aube et mon âme est la plaine
Qui des plus douces fleurs embaume son haleine
Quand vous la respirez ;
Mon âme est la forêt dont les sombres ramures
S’emplissent pour vous seul de suaves murmures
Et de rayons dorés !
Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies,
Car vos petites mains, joyeuses et bénies,
N’ont point mal fait encor ;
Jamais vos jeunes pas n’ont touché notre fange,
Tête sacrée ! enfant aux cheveux blonds ! bel ange
À l’auréole d’or ! » – Victor Hugo, Les Contemplations
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5. En revenant du cimetière
« On vit, on parle, on a le ciel et les nuages
Sur la tête ; on se plaît aux livres des vieux sages ;
On lit Virgile et Dante ; on va joyeusement
En voiture publique à quelque endroit charmant,
En riant aux éclats de l’auberge et du gîte ;
Le regard d’une femme en passant vous agite ;
On aime, on est aimé, bonheur qui manque aux rois !
On écoute le chant des oiseaux dans les bois ;
Le matin, on s’éveille, et toute une famille
Vous embrasse, une mère, une sœur, une fille !
On déjeune en lisant son journal ; tout le jour
On mêle à sa pensée espoir, travail, amour ;
La vie arrive avec ses passions troublées ;
On jette sa parole aux sombres assemblées ;
Devant le but qu’on veut et le sort qui vous prend,
On se sent faible et fort, on est petit et grand ;
On est flot dans la foule, âme dans la tempête ;
Tout vient et passe ; on est en deuil, on est en fête ;
On arrive, on recule, on lutte avec effort… —
Puis, le vaste et profond silence de la mort ! » – Victor Hugo, Les contemplations
Courte Biographie De Victor Hugo
Victor Hugo, en abrégé Victor-Marie Hugo, (né le 26 février 1802 à Besançon, France – mort le 22 mai 1885 à Paris), poète, romancier et dramaturge qui fut le plus important des écrivains romantiques français.
Bien que considéré en France comme l’un des plus grands poètes de ce pays, il est plus connu à l’étranger pour des romans tels que Notre-Dame de Paris (1831) et Les Misérables (1862).
Pour Conclure
Qu’il s’agisse de la famille, d’un nouvel amour, d’un amour perdu ou d’un amour brisé, l’amour sous ses différentes formes est décrit de façon magnifique dans chacun de ces 17 magnifiques poèmes d’amour de Victor Hugo afin de faire ressortir le véritable sens de l’amour.